NANCY WAKE
SALUT LES GUERRIERS… ET SURTOUT LES GUERRIÈRES !
La résistante la plus décorée, qui fait trembler la Gestapo… Ses armes ? La séduction et le judo !
Nancy Wake grandit en Australie avant de venir en France.
Elle rencontre Henri Fiocca, un industriel français et l’épouse… En 39 !
Son mari est appelé au front.
Donc elle retourne faire la vaisselle…
J’déconne Nancy, t’énerve pas, je te cite :
“Je déteste la guerre mais je ne vois pas pourquoi les femmes se contenteraient de tricoter des bonnets à leurs maris après leur avoir dit au revoir.”
Elle rejoint la résistance française !
De quoi donner un bon exemple : la parole ET les actes.
Aujourd’hui combien seraient prêt(e)s à s’engager dans la résistance de 40 pour leurs idées ?
J’suis fan.
En 40 elle aide les pilotes anglais abattus en France, les soigne et les exfiltre.
Elle file des faux papiers aux juifs.
Et sauve 1000 personnes…
Ensuite, elle devient messagère et organise des évasions.
Les boches de la Gestapo la surnomment “weiße Maus”, la souris blanche.
Ils mettent sa tête à prix pour 5 million de francs.
Une balance renseigne les boches et elle est repérée dans un train.
Elle saute en pleine marche mais se prend une bastos dans la jambe.
Ils la torture pendant 4 jours, mais elle dit que dalle – même pas son nom.
Du coup les gus doutent et la relâche amochée mais vivante !
Elle prend la tangente en Angleterre.
Son mari resté en arrière est arrêté, torturé et exécuté.
Elle rejoint les services secrets britanniques
Elle s’entraîne au tir, explosifs, combat armé, judo, sabotage…
En 44, elle est parachutée en auvergne…
Spécialiste de la guérilla, elle fout un merdier pas possible derrière les lignes boches en faisant tout péter.
Pont, dépôt d’essence, voie ferrée, antenne radio…
Elle prépare le débarquement et aide à la formation de pax sur place.
Une mission tombe :
Faire 300 bornes en vélo en 3 jours, au milieu des nazis pour récupérer du rens.
“Présente !”
Pour pas finir entre 4 planches, elle amadoue les boches avec sa botte secrète : la séduction.

Je cite :
“Bien maquillée et un peu de boisson sous le bras, et je passais devant leurs postes, je leur faisais un clin d’œil et leur disais :
– Voulez-vous me fouiller ? »
Du coup elle soutire des infos en flirtant…
Faut oser !
Mais ce que les boches savent pas…
Je cite de nouveau :
« Sous ma tenue civile, mes collants en soie et mes talons hauts, je portais une combinaison de combat, des revolvers, des sangles d’attache, un parachute et un casque en métal, et camouflait le tout sous un grand manteau couleur camel. »
Si toutes les femmes se baladaient comme ça dans la rue, ça en calmerait 2-3…
Le meilleur pour la fin :
En Juin 44 elle commande une attaque sur la Gestapo, et elle tombe seule, nez à nez avec une sentinelle…
Un ippon plus tard, elle lui claque la tronche par terre et le tue sur le coup.
A main nue donc.
J’sais pas vous, mais moi j’suis pas loin d’être amoureux.
ROMPEZ !
LES THÈMES MILOUFS !






LES THÈMES MILOUFS !
LES THÈMES MILOUFS !






MES DERNIÈRES NOTES !
LES THÈMES MILOUFS !





