Le stage-commando. C’est pas un stage, et tu deviens pas commando mais ça t’apprends la vie :

💪🏻La résilience :

Le jour ou les cadres de stage-co se “présentent”, faut frapper fort.Généralement, c’est le plus balèze le Sergent Bratass, qui fouille le sac du plus abruti, le 1cl Deumingoche.

Y’a TOUJOURS un truc qui va pas.

Histoire de se donner l’occas’ de te défoncer le reste de la journée.

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💤La rusticité :

Généralement, la nuit tu dors environ 25 minutes.Techniquement, cligner des yeux, ça devient une sieste. T’es souvent réveillé par deux bruits : Un hurlement d’un mec qui gueule “ALERTE”

Le bruit sourd d’un coup qui fait taire ce hurlement.

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💩Le courage :

Y’a un endroit qui s’appelle la fosse à purin – rien à voir avec la piaule de Deumingoche. C’est pour se soulager.

Si t’as le cigare au bord des lèvres le lundi, ça va.Par contre, si le boeing arrive en bout de piste le samedi…Là t’es pas bien. Traverser un champ de mine et creuser un trou sans poser sa peau à cause de l’odeur, ça relève du miracle.🤨Le flegme :

T’apprends à faire des nœuds avec un casque lourd sur la tête.

A chaque erreur, Bratass – fan de Chuck Norris, te met un high kick. A la fin y’a un gagnant :

Soit c’est celui qui a le casque le moins défoncé

Soit c’est celui qui est encore debout.

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🎯Le dépassement de soi :

Tu fais plus de sport que dans le reste de ta vie.

En une semaine, t’arrives à cumuler 28 789 pompes. Dont 28 000 avec la caporal Foldingue qui hurle à côté de ton visage.

Les 789 dernières c’est quand elle en à marre d’hurler et qu’elle se met à parler en Italien : avec les mains.

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🙈L’ingéniosité :

2 semaines avant le stage-co, tu vas enterrer de la bouffe et des clopes un peu partout dans le camp.

C’est la loterie ! Tu peux pas connaître le bon emplacement à l’avance.

J’te dis pas le bordel quand t’apprends qu’Azimuté à tout enterré dans la fosse à purin.

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💥La bienveillance

Le jour du coxage.

Ce jour-là t’apprends un truc fondamental :

Donner c’est vachement mieux que recevoir.

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