LA LIGNE ROUGE
SALUT LES MILOUFS !
D’enfant battu à tireur d’élite… Borgne ! Son surnom ? Le rambo québécois. J’vous cause de Léo Major
Léo naît le 23 janvier 1921
Enfance merdique, enfant battu.
Son père lui dit même qu’il n’est “qu’un paresseux, une mauviette et un peureux qui ne pourra jamais réussir dans le monde compétitif d’aujourd’hui”
J’ai jamais vu quelqu’un se tromper autant !
En 40, Léo s’enrôle dans l’armée.
Pendant 3 piges, il s’entraîne 6 jours par semaine :
Tir, reconnaissance, opération commando et boxe.
1944 : débarquement.
Il commence tranquille, en prenant un nid de mitrailleuses.
Ça c’est pour le petit déj.
Dans l’après-midi il est en reconnaissance en binôme et aperçoit un Hanomag SdKfz 251 (un véhicule blindé schleu)
10 minutes plus tard, c’est lui qui est aux commandes.
Facile.
Un peu plus tard, le 24 juin, il effectue une reconnaissance avec ses potes.
Ils tombent sur 5 boches.
Ils les allument mais le dernier à l’article de la mort balance une grenade…
Pas de bol, dans l’explosion Léo perd son œil.
Il est soigné et le toubib lui dit :
“Pour toi, guerre en croix”
Il répond donc :
“Écoute moi bien néné, j’suis TE et mon oeil directeur c’est le droit, j’vois un peu moins bien mais j’peux encore t’en mettre une, tu décides quoi
?

Léo réintègre son unité.
Le 30 octobre, Léo est (encore) en reconnaissance, solo.
Il tombe sur une section boche de 97 pax.
C’est tout ?
Il aligne un éclaireur et en fait prisonnier un autre pour appâter le reste.
Il se planque dans les fourrés et commence à déglinguer le reste.
Au bout de 3 morts les allemands se rendent.
À 93 contre 1 !
Imaginez la gueule des alliés quand il s’est pointé au camp avec 93 prisonniers.
Le mec est increvable, la preuve :
Le 27 février 45 il saute sur une mine antichar avec un véhicule.
Les occupants sont tués sauf lui…
Triple fractures du dos, double entorse et 4 côtes cassées.
LES THÈMES MILOUFS !






LES THÈMES MILOUFS !
LES THÈMES MILOUFS !






LES THÈMES MILOUFS !





