JOSEPH BEYRLE

SALUT LES LOUSTICS !

Déclaré mort pendant la seconde guerre mondiale… Ça ne l’a pas empêché de continuer à combattre !

Joseph Beyrle naît en 1923 aux USA , dans une famille d’origine allemande. 

Ça commence bien tiens… 

 

En 42, on lui propose une bourse d’étude, c’est un talent au baseball. 

Mais Joseph, le baseball, il en a rien à foutre. 

Il s’engage dans les TAP .

En 44 les ricains s’entraînent pour l’opération Overlord… Le nom de code du débarquement. 

Joseph trouve ça chiant, lui il veut démonter du boche. 

Il se porte volontaire pour une mission tranquille : 

– Sauter seul en Bretagne, de nuit, derrière les lignes boches.

– Retrouver la résistance française, leur donner de l’or. 

– Retourner à la plage et se barrer en Angleterre. 

Tout ça sans se faire choper, sinon torture et exécution. 

 

Comme c’est trop facile, il fait cette mission deux fois. 

Le 5 juin 44, la veille du débarquement, il est parachuté une 3ème fois pour tout faire péter.

Son zinc se fait dézinguer mais il s’en sort en se balançant dans le vide. 

Il poursuit sa mission et dégomme même une section à lui tout seul avec des grenades… 

Il fait péter des ponts, des transfos électriques…

Jusqu’à ramper sous des barbelés et tomber… Dans un nid de mitrailleuses boche ! 

Outch.  

Ils l’arrêtent et l’emmènent dans un camp de prisonniers.

Sur le chemin, ils se font bombarder par l’artillerie.

Joseph en profite pour prendre la tangente, avec quelques éclats d’obus dans le buffet. 

Il finit par se refaire choper 12h plus tard et reprend le chemin du camp. 

Là-bas, les Boches apprennent qu’il est d’origine allemande et ça barde pour son matricule.

Transféré plusieurs fois, il  atterrit dans un camp en Pologne et rejoint le club des 5, mission : s’évader. 

Après plusieurs échecs, ils se rendent compte que y’a une taupe dans le groupe et lui règle son compte. 

Ils finissent par réussir à s’échapper, montent dans un train pour l’est et s’endorment.

 

Joseph Beyrle

À leur réveil… Surprise !!

Ils sont à Berlin. 

Ces blaireaux ont pris le mauvais train 

Ils se font choper par la gestapo et déglinguer, digne d’un post sur les tortures du moyen-âge, jusqu’à être récupérés par la Wehrmacht et renvoyés en Pologne. 

 

Ils s’évadent encore et tentent de rejoindre les troupes russes. 

Ses potes se font buter, mais il finit par trouver les ruskofs et se fait enrôler. 

Il libère le camp où il était prisonnier

Un mois plus tard, il est blessé. 

Après soins, il va à l’ambassade des USA pour rentrer chez lui. 

Quand il donne son identité, on lui dit que Joseph Beyrle… bah il est mort… officiellement le 10 juin 44, et que ses funérailles ont eu lieu. 

 

En fait, à sa première capture un boche lui a tiré ses plaques milouf et est mort peu de temps après, carbonisé. 

Impossible d’identifier le corps. Du coup, uniforme ricain + plaques = Joseph ! 

Au final, tout rentre dans l’ordre et il est renvoyé chez lui.

Imaginez la gueule des parents.

ROMPEZ !